L'Algérie a commis beaucoup d'erreurs avec son positionnement pro-occident dans les sanctions contre la Russie, en produisant plus de gaz, pour saper la contre-stratégie russe de la montée du prix du gaz, face aux pays occidentaux en difficulté d'approvisionnement alternatif. Elle a déjà payé cash son erreur avec la Russie, par son exclusion de la première vague des adhésions au Club du Brics. Mais la Russie n'a pas rompu avec l'Algérie. Ce sont des initiatives conjoncturelles, passagères qu'il ne faut pas confondre avec le fond du sujet, avec l'idéologie structurelle qu'on partage, de l'ennemi commun. Mais ça c'est déjà du passé.
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