Pour nourrir 3 à 4 fois par jours tous ces camerounais qui passent leur temps tous les dimanches dans les églises à prier un dieu qui n'existe pas, ce n'est pas du ciel que la nourriture nous arrivera.
Il faut bien que pendant qu'ils passent l'essentiel de leur temps à prier, quelqu'un prenne la décision de penser à ce qu'ils vont manger après.
Et. C'est cela le travail de la Pougala Academy depuis Bafang.
Qui dit mieux ?
Qui a une solution alternative aux importations nocives contre notre économie ?
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