Ceux qui travaillaient hier sans posséder, c’est-à-dire, ceux qui, à la révolution industrielle, produisaient ces richesses  sans en disposer, étaient les esclaves, les colonisés, les metayers (personnes qui exploitaient des champs agricoles en échange d’un versement d’une partie de la récolte aux propriétaires), les ouvriers des mines et des manufactures (petites usines).     2 siècles après, la France est toujours divisée en 2 groupes : ceux qui possèdent les richesses sans travailler pour les produire et de l’autre, ceux qui travaillent pour produire ces richesses sans en disposer. Avec une particularité, c’est que le plus jeune président de la République française, Emmanuel Macron, a choisi de se mettre au service des personnes de la première catégorie.  Et aux pauvres, il a servi, comme le veut la démocratie, le rêve, l’illusion.  Comme le Général De Gaulle, comme Giscard D’Estaing, comme Mitterrand, comme Chirac, comme Sarkozy, comme Hollande, Macron a service à cette masse d’ouvriers la recette de Georges Bernanos qui affirme dans "Journal d'un curé de campagne" ceci :  "Un ventre de misérable a plus besoin d'illusion que de pain".
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