La Chine a été victime comme les pays africains de la même humiliation, du même rabaissement venant de la même France, du même Royaume Uni. Mais contrairement à la Chine, les africains n’ont peut-être pas compris le mécanisme de fonctionnement du colonialisme tel que décrit par Sartre et qui continue encore aujourd’hui. En sommes les Africains qui attendent encore le « Transfert de Technologie » ou d’être sauvés par un Jésus fabriqué sur mesure pour les tenir en laisse tels des chiens couchants de l’impérialisme dont parle Mao Zedong, n’ont toujours pas compris le titre de l’article de Sartre de 1956 qui était à lui seul, tout un programme et qui reste tellement d’actualité en ce 2023 :  « Le colonialisme est un système ». Le colonialisme n’est pas une fièvre qui s’arrête lorsqu’on aura ingéré la pilule de l’indépendance. Le colonialisme est un cancer, avec des métastases qui continuent même des années après qu’on aura proclamé sa fin. Il faut y veiller pour empêcher que ces métastases se développent et se propagent, par des initiatives comme le pèlerinage des Chinois à aller manger et boire à la santé de leurs bourreaux français sur les lieux-même de leur humiliation.  L’espoir est permis en Afrique, que les nouveaux dirigeants au Mali, au Burkina et au Niger, soient suffisamment lucides, pour travailler très dr pour redonner l’humanité à leurs citoyens, à travers le savoir et la prospérité. Sans oublier tous les jours, le rappel de ce que ces peuples étaient, les plus humiliés de la planète, et réduits à rester les plus pauvres de la planète et pire, offerts en trophée à tous les mesquins qui voulaient se payer bonne conscience en envoyant quelques bribes de riz ou de blé aux pauvres africains du Niger, du Burkina Faso et du Mali. Dans la quatrième partie, nous parlerons de comment les chinois ont décidé de se venger en imposant leurs banques, leurs entreprises pétrolières, leurs entreprises d’électricité ou de fabrication des outils des chemins de fer en première puissance du monde et on ne voit pas comment, encore moins par qui cette position  de leader sera contestée. Nous ferons un tour au musée d’urbanisme de Shanghai, pour voir comment avec le Shanghai en 2035, les concurrents occidentaux sont complètement largués même dans les secteurs où pendant près de 200 ans, ils ont été les meilleures : l’urbanisation et le développement intégré entre industrie, économie et habitations. A ne pas rater toujours sur cette plate-forme.
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