L’Afrique a besoin des politiciens capables de programmer leurs actions dans le temps et de se préoccuper de comment et où trouver les meilleurs partenaires pour y arriver. Tenir le pied dans deux chaussures différentes ne semble pas être la bonne solution. Alors, se pose le problème du choix de camp. Il faut choisir son camp. La générale américaine s’est rendue en Argentine pour lier ensemble le sort de la Russie et de la Chine comme leur principal danger. Le général Laura Richardson rappelle que la Russie a envahi l’Ukraine et cela est la priorité de ses problèmes, sans se demander si pour l’Argentine ce problème se trouver en tête de ses préoccupations. Pire, le général Laura Richardson  oublie les propres invasions des Etats-Unis en Irak, en Afghanistan, en Serbie et la destruction de la Libye. Tout ce qui compte est de trouver une alliance pour isoler la Chine et la Russie. Mais est-ce notre priorité ? Est-ce qu’ils nous ont aidés dans notre propre priorité de sortir notre peuple  de la pauvreté en dehors de la propagande perpétuelle et du rappel en refrain que nous sommes les plus pauvres du monde  ? S’ils l’avaient fait, cela se saurait, cela se verrait.   Si celui qui m’empêche de sortir de la pauvreté depuis 60 ans panique contre quelqu’un, n’est-ce pas l’indication du choix de camp qui m’attend si je suis président d’un pays qui espère son peuple de la soumission pour se mettre définitivement sur la voie de son émancipation culturelle, spirituelle et économique ?
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