C'était une aubaine pour quelqu'un qui n'avait pas de champ car à Kekem, après avoir extrait l'huile de palme, les gens jetaient tout le reste. Et c'est dans cette poubelle des pauvres que je vais trouver mon bonheur. J'avais compris une chose : que si on est un battant, même dans le plus pauvre des villages camerounais, on peut réussir sa vie en s'accrochant à quelque chose d'intelligent.
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