Toute cette clairière dans mon champs de maïs est le travail des hérissons et des écureuils, qui viennent se servir. Imaginez un seul instant si pour cultiver ce champs j’étais allé emprunter l’argent à la banque ou bien si j’avais levé des fonds auprès des inconnus en leur promettant des miracles à partir des récoltes futures. Ici nous ne sommes pas au Casino. Le gros lot n’existe. À la rigueur, vous risquez plutôt de tout perdre pour une pluie arrivée tard ou arrêtée trop tôt.
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