A mon avis, il n'existe pas une autre ville en déhors de Douala pour mieux symboliser cette défaite des camerounais face aux français ? Et le nombre des usines appartenant aux français par rapport aux camerounais qui ont accepté de jouer le deuxième role pour être presque tous des commerçants dans cette ville lagunaire du Golfe de Guinée, est là pour nous prouver à qui appartient véritablement la ville de Douala, au moment où nous fanfaronnons dans les débats hors-sujet, en dépensant l'argent emprunté des français, soit-disant pour financer une campagne électorale devant changer notre destin. 
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