Si de l’âge de 11 ans à 15 ans, la jeunesse camerounaise passe le temps à ne trouver comme seule offre d’activité extra-scolaire dans une ville comme Bafang, les chansons de louange à Dieu ou à Jésus-Christ, il ne faut pas être surpris qu’il n’en sorte ensuite aucun Prix Nobel. Puisque nous n’avons grandi en attribuant au ciel que l’explication religieuse de la Bible ou du Coran, d’un espace plat où se trouverait un Paradis où Dieu accueillerait les chanceux qu’il aurait sélectionné après la mort de chacun. 
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