Il fut un temps où tout le monde voulait s'affichait avec le président ukrainien Zelensky. Chaque président occidental, voulait faire le pèlerinage à Kiev et de là, le détour par Boutcha pour voir l'horreur russe très bien mis en scène. Et même ceux qui ne voulaient pas le voir, l'Occident l'imposait. Il fallait qu'il parle à l'Union Africaine, au festival musical annuel italien de Sanremo, au G7, G20, la Ligue Arabe, à l'ouverture de l'année académique de plus prestigieuses écoles et universités en Occident. A l'époque, tous faisaient un mauvais calcul de croire que vue la colossale somme d'argent dépensée, plus de 100 milliards de dollars, et les armements les plus sophistiqués reçus de l'Occident, l'Ukraine ne pouvait que faire une bouchée facile de ce qu'ils appelaient alors, le pays pauvre avec un PIB proche de celui de l'Espagne, c'est-à-dire, la Russie.
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