Maintenant c'est la Chine qui vient ajouter le coup de grâce en démontrant aux yeux du monde que ce qui reste de l'ancienne hégémonie américaine est une coquille vide : 200 milliards de dollars de capitalisation boursière allés en fumée pour une petite décision du gouvernement chinois limitée à ses employés. La Chine vient de dire au monde : maintenant, c'est moi qui commande. Ce sera quoi la riposte américaine ? Rien ! Quand j'ai dit en 2011 sur les ondes de la télévision camerounaise Stv2 que l'occident était terminé, tous mes amis européens m'ont accusé d'être pro Chine, au lieu de chercher d'en savoir plus. Maintenant ils seront heureux de recevoir la même information avec 12 nbn1s de retard, mais en pleine figure, telle une gifle après 360 degrés de rotation. Mon vrai défaut dans cette affaire c'est que j'avais juste eu raison trop tôt !
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