Pour l'heure, je ne vois dans la classe des intellectuels africains aucun carnivore, mais plutôt des deux groupes de brebis calmes et agitées, toute désorientées par une éducation coloniale au rabais. Dans deux ans, nous démarrons un nouveau  parcours d'atelier d'écriture avec les abonnés GOLD à ma salle de classe climatisée www.pougala.net pour tenter de faire émerger les nouveaux penseurs africains qui devront penser et élaborer les missions et les stratégies pour arriver à une véritable révolution africaine, qui est celle qui nous fait défaut depuis plus de 100 ans.  Mais comment être un penseur africain autonome si on a faim ? Et si on n'a pas les moyens pour défendre ses principes de liberté dans une parfaite autonomie intellectuelle adoubée d'une équivalente indépendance financière ? 
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