Et c'est des succès et des échecs probables de ces autres choses que j'aurai toujours le plus grand plaisir d'échanger avec vous durant ces rencontres publiques et gratuites en attendant le jour où vous rejoindrez la grande famille des Rinvindaf à Bafang. En tout cas, je suis touché par tant de dynamisme et d'enthousiasme de la part de cette jeunesse active de Douala. Le pays est à vous. Et c'est tellement rassurant de côtoyer cette jeunesse qui, entre mille difficultés, a tout de même compris que ce n'est pas en fuyant ailleurs chez les autres que ce pays sera construit. Chacun de nous a d'inombrables raisons pour détester ceux qui nous gouvernent
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