Cabon nous explique en 1926, que si tu es un prêtre et tu veux amener les africains à financer tout ce que tu fais labas pour les endoctriner, il faut procéder en plusieurs étapes : D’abord, faire arriver un peu d’argent des supérieurs en France. Utiliser cet argent pour noyauter les plus pauvres de l’église. Et faire en sorte que cela se sache. Deuxième étape : Durant la messe, dire que c’est ta tante qui t’a envoyé ses économies et que tu as mis dans la scolarité des plus pauvres de la paroisse, pour donner à manger aux plus démunis, envoyer à l’école plus d’enfants. Etape 3 la plus décisive : Leur expliquer qu’on voudrait aider plus d’enfants dans les villages voisins de A, B, C, donner des noms qu’ils connaissent. Et arriver à la conclusion qui se formule en une question : Comme ma tante ne peut pas s’en sortir à payer les enfants de cette paroisse et payer aussi les enfants des paroisses A, B, et C, est-ce que je peux compter sur votre générosité et bonté chrétienne pour faire qu’il y a plus d’enfants dans ce village à profiter de la béatitude d’aller à l’école ? Le père Cabon dit que le résultat est garanti. Voici ce qu’il écrit dans son livre aux pages 236, 237 et 238
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