Et c’est un pur hasard qui va l’amener à tomber sur un événement qui va lui ouvrir les yeux et lui faire comprendre combien de temps il avait perdu pour espérer obtenir d’un dieu qui n’existe pas des avantages qui ne sont jamais arrivés. Il comprend tout simplement qu’il aurait été beaucoup plus heureux à cesser d’être un matérialiste, à vouloir à tout prix que chaque geste pour louer un pseudo tout puissant, soit couronné de récompense. Pour lui, le matérialisme des croyants est si incohérent que selon leurs attentes, même le malheur qui leur arrive, est une chance, puisqu'il doit être couronné de récompense parce que Dieu sait forcément pourquoi il nous l’a infligé et comme tout ce que Dieu fait est bon, s’il nous a fait mourir un proche, c’est que forcément il nous fera gagner à la loterie la semaine ou le mois suivant. Ou même plus tard. Le matérialisme à l’extrême.
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