Le général Lothar von Trotha rédige cet arrêt de mort contre les Hereros : “Le général des troupes allemandes [en Namibie] envoie cette lettre au peuple Héréro. Les Héréros ne sont dorénavant plus sujets allemands […] Tous les Héréros doivent partir ou mourir. S’ils n’acceptent pas, ils y seront contraints par les armes. Tout Héréro aperçu à l’intérieur des frontières [namibiennes] avec ou sans arme, sera exécuté. Femmes et enfants seront reconduits hors d’ici – ou seront fusillés […] Nous ne ferons pas de prisonnier mâle ; ils seront fusillés. Telle est ma décision prise pour le peuple Héréro”. Résultat des courses : SUr les 100.000 Hereros qui existaient avant, il ne restera plus que 15.000 à la fin du massacre allemande.
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