Madame Merkel n’a pas compris que même en mobilisant les Banques Publiques d’Investissement non pas seulement allemandes mais de toute l’Union Européenne, elle n’a aucune chance, aucun moyens efficace pour freiner les ambitions de la State Grid en terre européenne, fragilisée par le système économique défendu par Bruxelles. D’abord, la State Grid Corp. of China (SGCC) est considérée comme la plus puissante entreprise au monde, tous secteurs confondus. C’est le principal opérateur de réseau électrique chinois, couvrant 80 % du pays avec ses 1,1 milliards de clients dans toute la Chine et détenu à 100 % par l’État chinois selon le modèle des State-owned enterprises, avec en 2016 d’un chiffre d’affaires de 363 milliards USD, ce qui lui offre des capacités économiques inouïes pour mettre à genoux dans le monde n’importe quel concurrent, des opérateurs électriques. Quand madame Merkel bloque la SGCC en 2018, elle ne sait pas, qu’elle est en retard de 4 ans, parce que les services secrets allemands ont oublié de l’informer que c’est depuis 2014 que la SGCC a décidé de créer un nouveau standard électrique européen, avec sa capitale européenne, à Berlin même. En effet, en 2014, la SGCC crée la Global Energy Interconnection Research Institute Europe (GEIRI), avec son siège à Berlin. La Geiri finance les recherches des départements d’Electronique et Electricité dans les principes universités et écoles d’ingénierie de toute l’Europe, y compris les pays des Balkans.
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