Plusieurs erreurs avaient été commises de la mauvaise compréhension de mon partenaire congolais qui a cru bien une co-organisation du séminaire avec le diocèse de l'Eglise Catholique de Verona qui, comme je le prévoyais, a continué la même initiative de son côté selon son propre point de vue.  Ce fut tout de même un expérience très fascinante, au milieu des personnes toutes motivées pour parler positivement d'Afrique. C'était la première fois que je me retrouvais à parler d'industrie à la jeunesse africaine, même si loin du continent africain, en Italie.  Mais le divorce vient principalement du fait que je ne croyais pas crédible de parler de guerre industrielle entre l'Afrique et l'Europe en se faisant financer pour un tel séminaire par les européens, avec la contre-partie, non seulement d'avoir des formateurs européens, mais en y acceptant aussi des participants européens. Ca ne correspondait pas à l'idée que je m'étais faite d'un tel séminaire. 
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