Souvent les gens m'accusent de trop parler de la Chine et peu d'Afrique.
La raison est que c'est le seul exemple réussi de l'histoire où un pays colonisé par la France et le Royaume Uni, exactement comme le Cameroun, réalise l'exploit de se développer, de sortir plus de la moitié de la population de la pauvreté extrême.
Et ce pays le fait malgré un monde figé depuis deux siècles où seuls les occidentaux ont le droit de dire ce ir riches et le reste de la planète rester pauvres parce que spolié systématiquement.
Un pays, un seul à échappé à ce sort funeste, c'est la Chine. Et tous les pays du monde encore pauvre défilent ici pour apprendre de leurs expériences.
Tout le monde veut savoir comment ils ont procédé pour neutraliser les prédateurs occidentaux.
C'est dans ce cadre que nous du collectif des Nouveaux Industriels Africains de la Pougala Academy avons rendu visite hier mercredi à l'un des jeunes prodiges qui contribuent à tirer les autres chinois vers le haut.
Après ses études en science vétérinaire, contrairement à ce qu'ont décidé de faire ses camarades de se lancer dans l'élevage de Poulets, de porcs ou de chèvres.
Il a fait un choix audacieux : domestiquer, multiplier et élever les grands oiseaux sauvages pour la plupart venus d'Afrique.
Parti avec seulement 5.000 Rmb soit 500.000 fcfa, il est aujourd'hui à 80 millions de Rmb, soit 8 milliards de fcfa de chiffre d'affaires en 2024, à travers 7 sociétés dont la plus rentable est la robotique où il a déposé 65 brevets pour rendre le travail dans les élevages moins onéreux et surtout, moins répétitif.
Avec un seul de ses robots, vous remplacez 31 ouvriers dans votre ferme.
Prochain passage : l'année prochaine, en 2026, il aura 36 ans lorsque son entreprise sera cotée à la bourse régionale de Shenzhen, faisant de lui un des plus jeunes patrons de la bourse chinoise.
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