Et vous croyez sincèrement que ces images que la Chine a choisies de faire fuiter ces jours-ci de son avance technologique sur les brise glaces, là où les États Unis cumulent un retard technologique de trente ans, ne vont pas influencer le thème des discussions demain entre Trump et Poutine ? Pendant que l'Europe est perdue à fêter que la Suède et la Finlande ont rejoint l'Otan, mais laissant toutes les richesses de l'Arctique à la Russie et à la Chine, pour s contenter d'une mer fermée, qu'est la mer Baltique sans ressource naturelle, on peut conclure que les dirigeants européens sont raisonnablement des purs cancres. Ils passent plus leur temps à organiser des réunions inutiles pour empêcher la rencontre Trump-Poutine de réussir. Cela démontre combien ils sont mentalement dérangés à l'idée qu'un nouveau monde peut naître des cendres d'un passé colonial violent et meurtrier pour le reste de l'humanité, sauf l'occident. Le nouveau brise glace chinois qui se construit en 10 ans, bourré de technologie, est une démonstration de force pour dire à l' Occident qu'en arrière personne ne veut plus retourner, sauf peut-être les africains qui attendent encore Jésus et Allah. Lors du dernier sommet Chine-Union Européenne, à l'insistance de Van der Layen de demander à la Chine d'arrêter son soutien à la Russie, le président de la république Populaire de Chine a répondu avec un geste jamais vu auparavant : il a tout simplement demandé à la délégation européenne de faire les bagages et de s'en aller, écourtant ainsi à un seul jour, une rencontre pour fêter les 50 ans, prévue pour durer trois jours. On était habitué à une Chine qui ne parlait pas, ne réagissait à aucune provocation. Cette fois-ci, on a à faire à un nouveau pays qui a décidé de ne plus se laisser faire. Question : Pourquoi le président chinois a été aussi drastique avec la délégation européenne ? Réponse : parce que l'objectif des européens a toujours été de remplacer Poutine au pouvoir par un nouveau président de la fédération de Russie anti chinois, afin d'utiliser Taïwan comme proxy pour déclencher la guerre contre la Chine, c'est-à-dire, le remake de ce qu'on a vu en Ukraine. Et on vient demander à la Chine d'aider à détruire la Russie qu'on va ensuite utiliser pour détruire la Chine. D'où la réaction du président chinois, que la délégation européenne n'avait pas vu venir.