Le quotidien français Le Figaro d'où vient cette capture cite la télévision américaine CNN et le quotidien chinois de Hong-Kong, South China Morning Post (SCMP).
Durant des rencontres officielles entre les dirigeants de l'union européenne et le ministre chinois des affaires étrangères, ce dernier leur aurait fait comprendre sans ménagement que tout le soutient qu'ils accordent à l'Ukraine dans leur guerre contre la Russie est sans issue, sans aucune possibilité de succès.
Tout simplement parce que, comme je l'ai toujours dit, la lenteur avec laquelle la Russie grignote les territoires en Ukraine est voulue pour épuiser militairement et financièrement l'occident.
Plus le conflit ukrainien s'éternise et plus l'occident va se diviser devant les difficultés financières des budgets de chaque pays qui soutient l'Ukraine.
Et la Chine d'ajouter : n'espérez pas qu'avec le temps, la Russie va se fatiguer, parce que si tel est le cas, la Chine aidera la Russie pour éloigner toute éventualité de sa défaite.
La Chine dément cette information, parce qu'en réalité, dans l'état actuel des choses, la Russie n'a pas besoin de la Chine sur le plan militaire pour gagner.
La preuve ?
C'est elle qui refuse le cessez-le-feu.
Mais le sérieux de SCMP, très proche des sources gouvernementale chinoises est suffisant pour laisser croire qu'il y a un peu de vérité dans cette sortie.
Le soutien financier de la Chine sur le long terme est suffisant, pour permettre à la Russie d'attendre la capitulation de l'Ukraine pendant 20 ans.
Mais l'information est suffisamment prise au sérieux en occident pour qu'elle fasse depuis hier vendredi 4 juillet 2025 et aujourd'hui samedi, la une des journaux en occident.
Aujourd'hui, la Russie mène une guerre dite d'attrition contre l'Otan en Ukraine, qui consiste à une stratégie sur un front de 1200 km à orienter l'ennemi vers un point précis, pour mieux le détruire.
Par exemple sur le terrain, du Donbass, cela a consisté pendant près d'un an de combat à éviter pour la Russie de prendre la ville de Pokrovst, pour donner à l'ennemi l'illusion qu'il est en situation de force de gagner. Et d'y envoyer ainsi, toujours plus de soldats aussitôt éliminés.
C'est comme cela que, comme à Bakmouth, il y a deux ans, la Russie y a attiré le maximum des forces ukrainiennes et occidentales pour les détruire plus facilement sur ce point plus précis et non aller les chercher difficilement sur 1200 km de front.
Cela s'appelle une guerre d'attrition.
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