Au Cameroun chaque année, le président Paul Biya utilise l'argent du contribuable pour financer le voyage à la Mecque des croyants musulmans. Ils sont tous contents et remerciant chaleureusement le chef d'état, qui est ainsi flatté, encouragé pour trouver l'argent pour d'autres chanceux l'année suivante. Ce que les croyants ne savent pas est qu'ils sont pris a leur propre piège. Ils ne savent pas que l'argent avec lequel ils partent à la Mecque prier un Dieu qui n'existe pas est puisé dans l'enveloppe pour financer la construction des écoles dans le Nord du pays. Année après année, leurs enfants ne vont pas à l'école par manque d'école et les voilà faire des vidéos pour montrer comment Paul Biya n'a pas construit les écoles pour les enfants. La vérité est plus amère : les dirigeants africains aiment financer la paix sociale. Ils choisissent de financer les églises, les mosquées et les pellerinages pour avoir la paix sociale, même si ça contribue à l'abrutissement de la masse populaire. La population doit savoir qu'on 'e peur pas fêter en même temps pour Dieu et pour l'école et pour la science. Aller à la Mecque c'est bien, mais ce n'est pas a la communauté nationale de financer les croyances privées des citoyens. L'école, la science est un impératif républicain c'est-à-dire que c'est nous tous qui sommes obligés de garantie une école à tous nos enfants. Les croyants doivent se débrouiller seuls, pour prier et respecter les préceptes de leur religion. Ce n'est pas en priant Dieu qu'on trouvera l'argent pour construire les écoles, parce que Dieu ne répond à aucune prière. Il vaut mieux conseiller désormais aux croyants de prier pour trouver l'argent de leur voyage à la Mecque et utiliser le peu d'argent que l'état du Cameroun emprunte à l'international pour envoyer nos enfants, tous nos enfants que tout l'entendu du territoire national, à l'école dans les conditions matérielles minimales. La vérité est que Dieu n'existe pas, mais pour finir, les dirigeants qui y mettent leurs populations finissent pas y croire. Le jour où l'armée française est venu humilier le président de Côté d'ivoire Laurent Gbagbo, au lieu d'aller se cacher quelque part à Abidjan, ce dernier était resté à la présidence en prière devant lui des bibles de Jésus. Son pasteur lui aurait conseillé que prier aurait éloigné l'armée agressive française loin de son palais présidentiel, pourtant mitoyen à l'ambassade de France à Abidjan. Mais comme Dieu n'existe pas, ses prières à Jésus ne sont arrivées nulle part.
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