Est-ce qu’il est prouvé scientifiquement que les Noirs sont moins intelligents que les Blancs ? La réponse à cette question relève en elle-même de l’idiotie. En réalité ce genre de question a été posée tout au long de l’histoire, par les Européens, pour justifier leurs crimes et leurs spoliations à travers le monde. La haine que tout l’occident nourrit contre la Chine vient du fait qu’après l’échec de l’Union Soviétique de contester une telle narration, c’est la première fois de l’histoire qu’un pays a les moyens financiers et militaires de contester une narration fallacieuse, mensongère qui ne servait qu’à couvrir les viols, les braquages des autres peuples. La réponse à une question en elle-même biaisée serait plus appropriée celle-ci : Non, la raison pour laquelle un bandit atterrit chez, viole toute votre famille et emporte tout sur son passage et vous réduit en esclavage n’est pas parce qu’il est plus intelligent, ou parce que vous êtes atteints du crétinisme. Mais parce qu’il est à ce point idiot qu’il n’a pas trouvé des moyens intelligents, pour devenir riche sans nuire aux autres, sans utiliser la violence, sans braquer les autres peuples. C’est  pour cela que tous détestent la Chine. La République Populaire de Chine en ce 2025, apporte les preuves du fait que l’humanité pouvait progresser ensemble, et que le fait que la Chine devienne riche ne conduit pas obligatoirement que mon pays le Cameroun devienne pauvre. Non, le Cameroun n’est pas toujours sous la tutelle de la France, parce que la France est plus intelligente ou que les Camerounais sont moins intelligents, mais uniquement parce que celui qui vous met le pistolet à la tempe et vous exige votre montre ou votre porte-monnaie, n’est pas forcément plus intelligent que vous. Et le suivre ou tout lui remettre ne fait pas forcément de vous un homme crétin. Mais il ne faut non plus perdre de vue, le fait qu’il va utiliser de tous les stratagèmes, pour vous rendre idiots : le Ministre Jules Ferry rompt les relations diplomatiques avec le Vatican à cause de la loi de 1905, interdisant à tous les écoles de France d’enseigner Dieu aux enfants. Mais lorsque c’est le même ministre, devenu Ministre des Colonies impose le contraire, c’est-à-dire que tout enfant colonisé pour apprendre à lire et à écrire doit passer par l’apprentissage de Dieu, du christianisme et de l’islam, c’est bien parce qu’il espère que les colonisés en seront plus idiots pour se laisser commander par les enfants de France qui eux, auront à la place appris la pensée critique. Et c’est à ce niveau que la vigilance des victimes des viols et des braquages coloniaux aurait dû être accentuée. Lorsque le roi de France impose le manioc aux esclaves (à travers le Code Noir : article 22) alors qu’au même moment ce manioc est interdit à la consommation par le peuple français depuis 1640, c’est la preuve que le violeur français, a une information scientifique que sa victime africaine n’a pas. Et cherche à l’utiliser pour valider sa propre narration pour camoufler ses forfaits, ses hold-up. LES FAITS Il y a 50 ans, à la page 19 de son numéro du mois de Juin 1975, le mensuel français "Le Monde diplomatique" à travers une analyse intitulée : "Les fondements scientifiques des inégalités ethniques" Sous-titre :  "Les inégalités d’intelligence sont-elles inscrites dans les données génétiques ?" donnait la parole à l'Américain Arthur R. Jensen, professeur à l'Université de Californie, à Berkeley sur le faux débat de l'époque, à savoir si les Blancs ont braqué les Noirs, parce qu'ils étaient plus intelligents ou parce que les Noirs étaient plus idiots. Mais comme tout le monde à l'époque avait déjà conclu que le Noir est juste idiot pour se laisser réduire en esclavage, et le gentil Blanc est très intelligent, pour ne pas louper une si belle occasion lucrative pour se faire de l’argent, sans transpirer sur le dos des Noirs,  la question se posait plutot de savoir si les Noirs étaient bêtes génétiquement ou pas. Voici ce que répond le professeur Arthur R. Jensen : ------------------------------ Au cours des trente dernières années, la recherche d’une explication scientifique du fait indéniable qu’est l’infériorité du quotient intellectuel (Q.I.) des Noirs, a été considérablement entravée par le spectre du racisme. Les théories qui veulent voir dans cette infériorité la conséquence de l’influence de l’environnement et se refusent à admettre l’hypothèse de l’action de facteurs génétiques, ont prévalu non en raison de leur rigueur scientifique mais parce qu’elles sont en parfaite harmonie avec notre croyance démocratique en l’égalité des hommes. C’est un fait connu et incontestable que, soumis à des tests destinés à mesurer leur Q.I., les Noirs des Etats-Unis obtiennent une moyenne inférieure de quinze points à la moyenne des Blancs. Le succès d’un individu ne dépend pas exclusivement de son intelligence et d’autres facteurs entrent en ligne de compte, mais il faut cependant admettre que le Q.I. donne une indication, si imparfaite soit-elle, des possibilités de compétition d’un individu. La différence de Q.I. entre les Blancs et les Noirs a une signification sociale considérable. Pourtant les partisans de la perspective environnementale se refusent à y voir autre chose qu’une différence artificielle engendrée par les conditions de vie. Mon but est de démontrer que leurs arguments ne résistent pas à une analyse poussée. L’hypothèse d’une différence génétique d’intelligence n’a pas encore été directement vérifiée par les techniques classiques de la recherche génétique mais elle n’en doit pas moins être prise au sérieux. En effet, il n’y a aucune raison a priori pour que les différences anatomiques et génétiques considérables qui existent entre les races ne s’accompagnent pas de différences physiologiques et psychiques. Puisque l’intelligence et les facultés mentales dépendent de la structure du cerveau et puisque le cerveau, à l’instar des autres organes, est soumis à l’influence des gènes, peut-on logiquement nier la probabilité d’une influence génétique sur le cerveau ? Des études génétiques faites sur des populations européennes et nord-américaines ont démontré l’héritabilité manifeste de l’intelligence et je ne connais pas un généticien qui récuse cette évidence.
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