La France a désormais déclenché ses robots qui inondent les réseaux sociaux africains, chaque fois qu'on dit la moindre chose positive sur la Chine et la Russie, qui se résume en un slogan :
"On ne quitte pas un maître pour un autre"!
Ils comptent sur le fait que les africains s'informent prioritairement sur les médias français et britanniques.
Ils comptent aussi sur le fait qu'habituellement la Chine ne fait aucune déclaration sur les dépendances des pays, anciennement maîtres des africains.
C'est loupé !
Désormais, la Chine a décidé de parler et de nous informer sur tous ceux qui nous découragent d'aller chercher les partenariats avec la Chine, alors qu'eux ne vivent plus que de ça.
Cette semaine, c'est le cas du nucléaire français.
Je suis tombé de ma chaîne quand pour la première fois, les médias chinois ont rendu publique l'information selon laquelle, sans la Chine, il n'y aurait plus de nucléaire en France.
Sans les ingénieurs chinois, les centrales nucléaires françaises fermeraient les unes après les autres comme elles avaient commencé à me faire il y a deux ans avant d'être secourues par l'expertise nucléaire chinoise.
Ce sont enfin les chinois qui nous expliquent qu'en France, comme pour le TGV, les pionniers du nucléaire civil sont allés à la retraite sans être remplacés.
Résultat des courses : la Chine livre 1600 tonnes de technologie nucléaire pour l'Iter projet de 35 pays, complètement méconnue des ingénieurs français.
Ce qui veut dire que pour au moins 20 à 30 ans, il faudra la présence physique des ingénieurs chinois en France pour faire tourner les centrales nucléaires françaises.
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