La consommation excessive du manioc rend bête ! Selon les propos même de l'OMS et vous trouverez sur internet, et même à travers les instruments d'intelligence artificielle collé DeepSeek ou ChqtGpt d'abondantes littératures là dessus surtout de la part des chercheurs indiens, srilankais, mais aussi colombiens ou mexicains, qui font que partout ailleurs sauf en Afrique, la culture du manioc est essentiellement destinée à plusieurs applications industrielles et à la consommation animale, mais très marginalement à la consommation humaine. Le manioc rend bête ! Et le pire est que les européens le savent depuis deux siècles. Et c'est la principale raison pour laquelle, ils l'ont destinée en premier lieu à la consommation des esclaves notamment à Haïti. A mon avis, le plus grave n'est pas qu'ils soient au courant depuis deux siècles et que c'est l'une des principales cultures dont la Banque Mondiale, le Fond Monétaire International (FMI) et l'Union Européenne financent son développement en Afrique subsahélienne, avec la complicité des politiciens africains, des intellectuels africains qui sont tous vent debout contre la Chine et la Russie, mais muets, complices pour la plus grande œuvre de destruction massive d'un peuple après la mise en esclavage des Noirs qui a duré 4 longs siècles. Les européens ont ramené d'américain du sud durant leurs conquêtes coloniales trois choses : la pomme de terre, la banane et le manioc. Il n'y a que le poison qu'on partage généreusement sans en prendre soi-même et le manioc fait partie de ces poisons. Pensée critique : pourquoi aucun africain, jusqu'à ce que Pougala arrive ne s'est jamais demandé pourquoi ils n'ont consommé que la pomme de terre et la banane et jamais le manioc, qu'eux aussi destinent au textile ou à d'autres applications, et même à la consommation animale, mais jamais pour la consommation humaine ? Les industriels africains que nous formons à la Pougala Academy ne doivent pas se limiter à produire la richesse ou à produire à manger pour le peuple africain, mais prendre conscience du fait que l'Afrique est en guerre pour sa survie d'humains libres et intelligents.
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