Dans 3 jours ici à Paris, certains d'entre vous nous rejoindront dans notre quête de la vraie liberté pour le continent africain. Et comme il n'existe pas de liberté sans les ressources pour financer sa propre révolution, nous avons fait le choix de corriger les erreurs de nos prédécesseurs : commencer par le commencement : l'argent, trouver l'argent pour financer notre liberté. Sans l'argent, les intellectuels africains sont presque tous clochardisés par le système impérialiste européen qui réussit ainsi à les rendre, tous, corvéables à volonté. Du coup, tous leurs proclames, tous leurs cris de ralliement, ne ressemblent qu'à des voix inaudibles dans un vacarme assourdissant d'autres cris plus forts.
Lire le contenu