« Depuis deux siècles, l’histoire du monde a été racontée d’un seul point de vue, celui de l’Occident, de la supériorité de sa civilisation, de l’universalité de ses idées. Le reste du monde était condamné à « rattraper » son retard et, en attendant, à patienter dans les antichambres de l’histoire. Ces temps sont désormais révolus ».