J'avais compris depuis le premier jour où j'avais mis les pieds en Italie, que seule l'industrie permettant de créer la richesse et en même résorber le chômage de masse pouvait sauver l'Afrique. Je me suis ainsi engagé, non pas à envoyer la poubelle italienne en Afrique comme le faisaient les autres africains, mais à me servir de mon savoir faire auprès des italiens pour construire le maximum d'usines en Afrique, en convainquant dans tous les pays où je me suis rendu, les commerçants à sauter le pas et passer de la spéculation à la création effective de richesses sur le continent africain à travers l'industrialisation où mes machines de conditionnement et mes emballages fermaient la chaine.
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