En géostratège, vous devez aller plus loin et vous rendre compte que le chef de l'exécutif, c'est à dire le premier ministre qui était chargé de créer toutes ces opportunités de formation des futurs dirigeants n'est rien d'autre qu'un certain Paul Biya. Une fois devenu président, hors mis son laxisme légendaire de souvent donner l'impression qu'il ne sait même pas si c'est lui le président de ce pays, on peut tout de même objectivement lui donner raison sur plusieurs points de son bilan et dire avec satisfaction que ce n'était pas mieux avant, tout au moins pas sur le plan scolaire. Pour revenir à l'accusation de départ, non, il n'existe pas de BELLE EPOQUE, le tout est de savoir ouvrir les yeux pour constater qu'on est assis sur d'innombrables opportunités qu'on ignore.
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