Je l’avais déjà dit il y a 4 mois quand le soit disant « Mozart de l’économie » français, Bruno Lemaire nous annonçait triomphant tel un croyant sur le mont des oliviers, que l’Union Européenne aurait détruit l’économie russe. Aux États-Unis, c’est la même chanson : ce n’est qu’après 4 mois du début de la guerre que quelqu’un vient d’expliquer à Joe Biden combien la Russie était importante pour l’agriculture américaine notamment dans la fourniture des engrais azotés. Et pour l’instant on ne voit pas