à l'heure où le monde entier se mobilise contre l'épidémie, des médias qui se prennent pour des parangons d'impartialité et d'objectivité, des experts et des politiciens de certains pays occidentaux semblent plus soucieux de calomnier, de stigmatiser et d'attaquer la Chine que de réfléchir aux moyens de contenir l'épidémie chez eux et dans le reste du monde. La victoire de la Chine sur l'épidémie leur donne des aigreurs. Avec leurs thèses fabriquées de toutes pièces, selon lesquelles la Chine a « tardé à réagir » et a « caché la vérité », ils la présentent comme le grand responsable de la pandémie, et sa victoire sur le coronavirus est fait figure de crime abominable. En revanche, que les pays occidentaux aient sous-évalué la gravité du virus ou qu'ils aient tardé à prendre des mesures ad-hoc, rendant ainsi l'épidémie incontrôlable, ne leur pose aucun problème de conscience et ne trouble en rien leur sommeil. Certains médias et analystes ont souligné à maintes reprises que la Chine avait, dans un premier temps, perdu « trois précieuses semaines », soutenant mordicus que : « Si les autorités chinoises avaient réagi trois semaines plus tôt, elles auraient pu considérablement limiter la propagation mondiale du virus et 95% de contaminations auraient pu être évitées. »