« L'enfant "civilisé" servira à son tour d'agent civilisateur dans sa famille où il apportera "les idées de civilisation, de progrès, de bien-être qui transformeront à la longue les primitifs d'hier", Il soutient ainsi l'oeuvre coloniale, car "il est préparé à mieux les comprendre pour mieux les seconder, les intentions de la puissance tutrice, en ce qui concerne l'organisation administrative, les oeuvres d'intérêt social et l’entreprises économiques » Rapport annuel de la France à la S.D.N sur sa gestion du Cameroun en 1922, page : 23