C’est dans un article paru dans le quotidien économique et financier britannique: Financial Times du 13 juin 2013 qu’il y avait une des plus grandes moqueries contre ce club d'incapables. Ce n’est pas moi qui le dis, mais le numéro du Financial Times du 17. Voici ce qu’il écrit: «Le G8 ne compte rien, ne représente personne et ne décide au final de rien, mais est le symbole du directoire de l’Occident». En d’autres termes selon le quotidien financier britannique, pour comprendre que la course de l’Occident est arrivée à son terminus, il suffit de remarquer que son directoire, sa tête pensante, est représenté par un organisme qui ne compte rien et ne décide de rien, le G7 + 1.  Parce que le dernier arrivé, la Russie, n’a jamais été accepté à plein régime dans ce club. La preuve, aux réunions des ministres de l’Économie du G8, la Russie n’a jamais été invitée. C’est pour cela que je n’ai jamais cru à un G8, mais à un G7 +1 comme plusieurs analystes américains n’ont cessé de l’appeler depuis l’entrée de la Russie.