Je vivais au milieu d'une foule de gens, de familiers, de voisins et de camarades du collège, mais j'étais aussi conscient du fait que  personne d'eux n'avait mon temps et donc, personne ne pouvait se mettre à ma place pour comprendre le drame existentiel qui m'accablait dans mon adolescence meurtrie de désert humain.