J’ai volontaire fait le choix de vous afficher les contenus de tous ces médias américains, afin que vous compreniez la dynamique qui est derrière la manipulation d’une information, qui peut faire basculer l’histoire.
Pendant que tous les Anti-Russes qui avaient promis la chute de la Russie, sont encore sonnés par les déclarations de Trump d’avoir échangé pendant 90 minutes avec son homologue russe, Poutine, il y a des journaux des premiers rangs, qui veulent faire ce qu’ils ont continuer de faire durant ces presque 3 ans de conflit en Ukraine : mentir !
Ils n’ont cessé de mentir que l’Ukraine allait battre la première puissance militaire du monde, la Russie, dotée du plus grand nombre d’ogives nucléaires, plus de 6.000. Et à aucun moment, ils n’ont eu la lucidité de se demander ce qui empêcherait cette même Russie d’effacer l’Ukraine de la carte géographique, si elle s’était véritablement sentie menacée.
Il s’agit d’une nouvelle classe d’intellectuels occidentaux suprématistes qui contribuent au discrédit moral de tout l’occident.
Ce sont des gens qui ont recruté l’acteur Zelensky, non pas pour devenir le président de l’Ukraine, mais essentiellement pour faire la guerre. Et maintenant, ils se rendent compte qu’ils ont perdu leur pari et ils refusent de l’admettre.
Aveuglés par leur arrogance, leur insolence et leur mépris de ceux qui ne partagent pas leurs points de vue, ils ont été incapables de se rendre compte que la guerre en Ukraine était un conflit inégal où l’Ukraine n’avait pas une seule chance sur un million de gagner, comme je n’ai cessé de le répéter depuis près de 3 ans, parce que la Russie disposait d’un avantage qu’elle a choisi de ne pas utiliser : l’aviation !
Mêmes les enfants des écoles primaires en Afrique sont capables de comprendre que si vous vous battez contre quelqu’un qui porte sur lui une arme, mais il fait le choix de ne pas l’utiliser, se contentant de vous répondre avec les mêmes coups de poings, c’est bien la preuve qu’il ne se sent pas menacé par vous.
Comme il était impossible de dire la vérité à tous ceux qu’ils avaient induits en erreur, à commencer par les Ukrainiens eux-mêmes, ils ont commencé à raconter une guerre qui n’existait que dans leurs têtes, dans leur imagination. Ils sont ainsi passés de surenchères à la saturation des insolences, faisant de Zelenski un simple perroquet à Kiev répondant aux injonctions de ses donneurs d’ordre en Occident et se contentant de répéter la narration hollywoodienne d’une Ukraine qui ne pouvait que gagner, telle la fin heureuse de toute narration au cinéma de Hollywood qui oppose le bon et le méchant et où naturellement le bon ne peut que gagner et le méchant, perdre.
Mais soit le donneur d’ordre à Washington, à Paris, à Berlin ou à Londres, que le perroquet à Kiev ont commis une erreur basée sur un très petit détail : dans le conflit ukrainien, nous n’étions pas au cinéma. Nous n’étions pas dans un film. Les morts c’étaient des vrais morts et non des acteurs, le sang c’était du vrai sang et non de la tomate.
Comme au cinéma, même dans la vraie vie, il y a toujours une fin. Et tôt ou tard, l’heure du bilan devait arriver, pour savoir qui a perdu et qui a gagné, non pas dans la narration, mais sur le terrain. Le Wall Street Journal, comme LCI, comme France24, comme BBC se réveillent à la fin du vrai film de la vie et découvrent que le sort qui est réservé au perdant n’est pas gai du tout. Pire, ils découvrent stupéfaits que le perdant n’a pas son mot à dire sur le sort qu’on lui réserve, pour la suite des évènements.
Mais il y a encore pire. Ils découvrent en même temps que la parenthèse de la page d’histoire qui consacrait la primauté de l’occident est en train de se refermer, avec des nouveaux acteurs plus aguerris, comme la Chine, qui ont déjà en main un cadenas gros comme un éléphant pour non seulement fermer cette page, mais la cadenasser pour toujours.
Comme il n’y a plus rien à faire, il ne reste plus que de continuer de mentir et d’attribuer au vice-président des Etats-Unis des propos qu’il n’a pas tenus, dans l’espoir que cela continue de servir d’épouvantail pour effrayer les autres peuples qui peuvent ainsi céder sans même chercher de combattre pour arracher leurs droits et mettre fin à l’injustice dont ils sont victimes depuis trop longtemps.
L’occident a toujours été& très excellents dans la violence organisée. Mais cette fois-ci, les membres du groupe, de la meute, sont trop bêtes pour même comprendre les termes et les détails du nouveau combat qui les attend, face à un nouveau concurrent, la Chine qui prépare cette bataille finale depuis 1921, depuis une petite ile située au milieu d’un lac de la ville chinoise de Hangzhou. C’est le lieu du baptême du Parti Communiste Chinois.
C’est ce parti qui parle aujourd’hui au nom du reste du monde en rappelant à ceux qui ne le savaient pas encore que les valeurs de l’occident, c’est-à-dire, la démocratie, l’esclavage, la colonisation, le christianisme et l’islam, la violence permanente contre les faibles du monde, ne sont universelles que pour l’occident.
La capitulation à venir de l’Ukraine signe le début de la fin d’un monde où régnait un universalisme raciste et prédateur, basé sur le calibre des fusils pointés à la tempe du monde entier par les Occidentaux. La Chine en sait quelque chose et réagit proportionnellement à l’humiliation et l’appauvrissement qu’elle en a subis.
C’est l’Afrique qui fait semblant que rien ne s’est pas passé en ces 5 derniers siècles. Et les intellectuels africains, sont tous disposés à se vendre au plus offrant en Occident, avancent tels des somnambules, tout droit vers le précipice pour planter eux-mêmes le premier clou sur le cercueil de leurs rêves de liberté, en liant leur destin sur celui d’un occident en faillite.
QUELLES LECONS POUR L’AFRIQUE ?
Pour le Wall Street Journal, Donald Trump ne fait pas partie de leur système, de l’establishment. Il va s’embrouiller pendant 4 ans et s’en aller pour les laisser continuer comme ils ont toujours fait, en détournant l’argent du contribuable pour financer des journaux que personne ne lit.
Au moment où Trump expliquait que l’Ukraine ne pouvait pas entrer dans l’Otan, voici le titre qu’on pouvait lire toujours hier à la une du même quotidien américain The Wall Street Journal :
« L’OTAN est l’avenir de l’Ukraine et le sera toujours »
Sous-titre : Une concession illusoire à Vladimir Poutine ouvre la voie aux affaires qui comptent vraiment.
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