Il drôle et curieux en même d’assister aux nouvelles contorsions de ceux qui nous ont prédit pour plus de deux ans que la Russie avait déjà perdu, miser tous leurs espoirs désormais sur celui qu’ils ont toujours détesté, le considérant pour un menteur, un criminel, un certain, Donald Trump, pour faire peur à Vladimir Poutine. Mais si Trump voulait faire de l’Ukraine sa priorité, il se serait comporté comme il est en ce moment en train d’opérer pour ramener les migrants chez eux. Curieusement, pour l’Ukraine, il a fait le choix de temporiser et de laisser Poutine continuer d’engranger les victoires militaires sur le terrain. Pourquoi arrêter quelqu’un qui est dans ses meilleurs moments de victoires sur victoires ? Mais cela ne suffit pas pour décourager les prophètes de très bonnes nouvelles pour l’Ukraine, qui ont toujours fait croire que même si la jeunesse ukrainienne mourait pour rien, dans une guerre par procuration de l’Otan et de l’Occident, ils ajoutaient presqu’en chœur un mensonge bien rodé dans toutes leurs bouches et qui prend la forme d’un refrain : « l’Ukraine perd du terrain, mais la Russie perd beaucoup de soldats, plus de 5.000 par jour. J’ai essayé de faire le calcul de 5.000 militaires russes tués par jour, sur 365 jours x 3 ans. Et j’ai eu le total de  5,4 millions de soldats russes imaginaires, tués dans le rêves des commentateurs européens, surtout Français et Britanniques, les pires colonisateurs que le monde ait connus depuis la chute de l’empire romain.   
Lire le contenu