Vous ne pouvez pas comprendre le contenu de cette analyse ci-dessus, si vous ne revenez pas à l’information que j’ai fournie au début de cette leçon, faisant la différence entre la femme africaine, abandonnée à elle-même, dans une conception islamo-judéo-chrétienne et la femme chinoise qui a grandi entre deux familles comme une vraie princesse.
C’est sous cette loupe qu’il faut lire les coûts des enfants chinois qui se résume en une expression : « la punition de la maternité ».
Si la maternité peut être vécue comme une bénédiction pour la femme africaine et une punition par la femme chinoise, c’est parce qu’une femme issue de la volonté divine, ne peut pas quantifier son temps de loisir et lui donner une valeur en plus ou en moins en fonction du fait qu’elle doit en profiter ou y renoncer à cause des enfants qu’elle doit élever.
Si Balthazar et tous les autres millions de Balthazar africains non connus peuvent se livrer à une activité sexuelle débridée jusqu’à se passer à chaque fois de protection contre les maladies sexuellement transmissibles et surtout de protection contre les grossesses non désirées, c’est la preuve que la valeur de la femme africaine est très relative.
Si on a quantifié que la femme chinoise perd de 8,7 heures par semaine en moyenne de temps de loisir lorsque le premier enfant a entre 0 et 18 ans, et de 10,8 heures, par semaine en moyenne lorsqu'on élève deux enfants, combien d’heure de loisir perd la femme africaine lorsqu’elle a 5 enfants, 7 enfants ?
Cela induit une autre question : la femme africaine a-t-elle des loisirs ? Les 400 femmes de Balthazar avaient quoi comme loisir en dehors du sexe au bureau avec un jeune homme ?
Le dictionnaire Larousse définit le loisir comme le "Temps libre dont on dispose en dehors des occupations imposées, obligatoires, et qu'on peut utiliser à son gré : Profiter de ses loisirs pour se cultiver."
C’est quoi les loisirs des couples africains qui rêvent subitement de faire grandir leurs enfants en Chine, pays où tous les enfants ont un ou plusieurs loisirs par tradition ?
Le « China Fertility Cost Report 2024 » publié sous la direction de Liang Jianzhang de la « Yuwa Population Research » dit que avoir un enfant entraîne une baisse de 12 à 17 % du taux de salaire des femmes chinoises.
Qu’en est-il pour la femme africaine ?
En réalité, il n’existe aucune diminution du revenu de la femme africaine qui en règle générale, n’existe tout simplement pas.
La société africaine est une société encore coloniale où l’homme représente le maître blanc dans le couple. C’est à lui la culture des plantes qui ont une véritable valeur marchande, comme le café, le cacao ; Et à la femme, les corvées des cultures dites vivrières.
La valeur de la femme, est donc calculée en fonction de quelle superficie de plantation elle peut cultiver pour nourrir sa famille. Et c’est là où nous assistons à la contradiction de valeur des femmes chinoises. Puisque la femme africaine a une valeur liée à la quantité de manioc, de macabo, d’igname qu’elle cultive, c’est paradoxalement plus rentable pour elle de faire autant d’enfants qu’elle peut pour l’accompagner dans ses travaux champêtres.
Cet avantage économique, va très vite se transformer en piège pour entretenir cette femme et par conséquent, tout son couple dans la pauvreté. L’enfant africain qui doit aider les parents dans les travaux de plantation pour la survie, renonce à des précieuses heures pour étudier convenablement et participer ainsi à la compétition scolaire qui fait monter en gamme les meilleurs élèves qui pourront ainsi pour finir, prétendre faire les meilleures études universitaires qui vont ensuite servir d’ascenseur social.
On voit ainsi des parents africains envoyer des enfants étudier par seulement en Chine, mais aussi et surtout en Occident, sans les moyens pour financer une telle expatriation, poussant leurs poulains tant aimés dans le monde turbide de la prostitution masculine et féminine.
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