Dans ce monde de Wells, je voyais les Chinois et les Africains tous heureux de faire les affaires toute la journée comme les Éloïms et de l’autres, tous ces occidentaux qui nous regardaient de travers non contents de voir des africains aller négocier en premières personnes en Chine, comme les terribles Morlocks de Wells. Et dans ce monde, Wells nous y invite comme des Explorateurs du temps où il y a de très nombreuses questions auxquelles nous ne pouvons répondre sans cet exercice d’exploration du temps, pour revenir au présent, à notre époque. Dans la fréquence des voitures électriques qui va suivre, nous sommes déjà dans le futur de Wells, dans lequel les terribles Morlocks, auront terriblement du mal à s’en remettre et revenir en surface nous retrouver. L’histoire que je vais vous raconter, commence en 1893, lorsque le premier moteur Ford voit le jour  dans la maison familiale au 58 Bagley Avenue à Detroit dans l’état de Michigan aux Etats-Unis. Peu de temps après, son auteur Henry Ford construit sa première automobile et quitte son emploi chez Edison en 1899 pour fonder la Ford Motor Company. En 1908, tous les économistes du monde doivent ajouter à leur liste de connaissances, un nouveau mot, le « Fordisme », défini comme : « Mode de développement industriel visant à accroître la productivité par la réorganisation du travail ». Il s’agissait d’un modèle d'organisation et de développement d'entreprise créé et mis en œuvre par Henry Ford, à l'occasion de la production de son nouveau modèle, d’automobile, la Ford T. Tous les concurrents du monde entier s’y sont engouffrés, et ce, jusqu’en 2023, avant que les Chinois n’y mettent fin, par la plus spectaculaire des façons, mais dans la discrétion la plus totale, c’est-à-dire, sans faire de bruit. Mais ce qui n’atténue pas la douleur et le fait de contraindre tous ceux qui ont pratiqué le fordisme à devenir les terribles Morlocks de Wells.